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Je regarde la maman assise à deux sièges de moi lutter pour que sa fille reste calme. Elle semble vouloir plus de bonbons. Je la vois chuchoter, mais je n’entends pas ce qu’elle dit. Cela ne semble pas avoir fonctionné puisque sa fille continue à parler, à supplier, à chouiner.
Puis, elle se met à pleurer et les pleurs se transforment rapidement en crise et en petits coups. Une tête se tourne pour regarder, puis deux, puis trois. Le jugement est silencieux, mais il est là. Je vois le moment exact où la maman perd la bataille.
Je reconnais son stress : elle a peur de faire une scène et je compatis pour elle lorsqu’elle sort plus de bonbons de son sac. Nous avons tous été là. Nous avons tous été cette maman-là, la maman qui cède pour « calmer la tempête ».
La colère chez les enfants est normale. Mais parfois, elle ne l’est pas. Et il n’est pas toujours facile de savoir si celle de votre enfant est simplement un moyen d’exprimer de fortes émotions ou si vous devez vous inquiéter.
Crises de colère : les comprendre pour mieux intervenir
La majorité des enfants font des crises de colère, surtout entre l’âge de 18 mois et 3 ans. Celles-ci surgissent de manière occasionnelle quand la frustration ou la déception prennent le pas, ou quand on lui demande de faire quelque chose qui ne lui convient pas
Les colères chez les enfants sont leur façon de partager leur difficulté à faire face à des émotions inconfortables. Après trois ans, ils sont moins colériques pour la simple raison qu’ils ont développé la capacité à exprimer leurs émotions difficiles de manière plus appropriée.
Vers l’âge de 7/8 ans, la plupart des enfants ne font plus de crises de colère, signifiant le fait que si le vôtre affiche des colères fréquentes et incontrôlables, ce comportement peut être le signe d’un problème sous-jacent qu’il faut identifier.
Gérer les comportements colériques est toujours délicat et une situation particulièrement épineuse pour de nombreux parents.
Une grande portion des colères de votre enfant résulte de son incapacité à faire face à la frustration. Autrement dit, un enfant qui n’arrive pas à faire marcher son jouet peut succomber à la colère, en raison de sa frustration.
Ce désagrément mène à des comportements colériques. Plus il apprend qu’il suffit de solliciter de l’aide quand il n’arrive pas à faire quelque chose, plus ses colères diminueront.
Dit de cette façon, cela semble simple. Mais le problème, c’est la difficulté liée à l’identification de la source de sa frustration et parfois, même votre enfant ignore pourquoi il « explose ».
Les réactions colériques sont souvent un appel d’aide d’un enfant en détresse.
On sait aujourd’hui que les émotions jouent sur le comportement de votre enfant et qu’encourager les conversations autour de celles-ci peut occasionner un impact important.
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des stratégies ludiques et appropriées aux jeunes enfants pour les aider à apprivoiser leurs émotions.

5 choses qui peuvent aggraver les colères de votre enfant
1) La nutrition
Quoique les chercheurs partagent des points de vue différents concernant les régimes influençant le comportement des enfants, nous sommes conscients aujourd’hui de l’altération de l’humeur et du comportement de l’enfant par l’alimentation.
Il est dit par exemple que l’interdiction de certains aliments dans son régime pourrait calmer son anxiété et son hyperactivité.
Tandis que certains parents ne jurent que par le « sans gluten » et les aliments sans caséine (la caséine est la protéine que l’on trouve dans les produits laitiers – lire le livre « Être et ne plus être autiste » de Nathalie Champoux, qui suggère que le comportement des enfants présentant de nombreux troubles de comportement peut s’améliorer grâce à un régime sans gluten), il n’existe pas encore de preuve scientifique quant à l’efficacité de ces régimes.
De plus, personne ne comprend la différence de résultats des régimes entre les enfants. On sait cependant qu’une alimentation équilibrée peut stabiliser, voire réduire les troubles de l’humeur.
Voici un article avec des petites suggestions simples que vous pouvez mettre en place dès aujourd’hui.
2) Des problèmes sensoriels
Certains enfants sont plus sensibles à certaines sensations que d’autres, surtout ceux atteints de troubles sensoriels. Ces derniers sont souvent décrits à tort comme étant des « hypersensibles », des « capricieux », des « maladroits », des « hyperactifs » ou des « colériques ».
Les enfants atteints de troubles sensoriels peuvent être capricieux plus longtemps et plus intensément et ils ont souvent un comportement qualifié « d’extrême ».
Par exemple, ils peuvent sembler insensibles aux sensations « normales » telles que le froid ou la chaleur, se plaindre des vêtements serrés ou qui démangent, tourner de nombreuses fois sans avoir le vertige, être inconscients des situations dangereuses, devenir « collants » ou au contraire, fuir tout contact humain.
Ce genre de trouble signifie simplement que votre enfant ne traite pas certains signaux de la même façon que ses pairs. Le fait de lui proposer des expériences sensorielles peut aider à calmer son anxiété et à améliorer sa concentration et son comportement.
Voici cinq idées d’expériences sensorielles qui pourront l’aider.
3) La fatigue
Nous sommes les pires versions de nous-mêmes lorsque nous sommes fatigués. Votre enfant ne fait pas exception. Sa fatigue peut avoir un impact négatif sur son comportement. C’est pourquoi il est important d’éviter l’accumulation de distractions et de lui permettre de « ne rien faire ».
La fatigue est votre pire ennemi à vous aussi. Plus vous êtes fatigué, plus vous aurez du mal à gérer le comportement de votre enfant et ce n’est seulement moi qui le pense – une étude scientifique a constaté que plus les parents se sentaient fatigués, plus ils étaient hostiles envers leurs enfants, leur donnant l’impression d’être de mauvais parents.
Quoi que vous fassiez, prenez soin de vous pour pouvoir prendre soin des autres.
4) Un manque de routine
Les enfants ont besoin d’un cadre pour s’épanouir et le manque de routine peut impacter leur comportement. Le fait de savoir exactement à quoi s’attendre les aide à développer un sentiment de sécurité.
Dans leur livre Parents… tout simplement ! , Kim John Payne et Lisa Ross soutiennent qu’une parentalité simplifiée basée sur une routine fixe rendrait les enfants plus calmes et plus heureux.
5) Les troubles du comportement
Parfois, l’attitude colérique de votre enfant peut s’expliquer par l’existence d’un trouble du comportement. Ces derniers peuvent être liés aux facteurs génétiques, aux traumatismes crâniens ou à certaines pathologies.
Elles affectent la façon dont votre enfant régule ses émotions et peuvent donc expliquer les comportements tels que l’agressivité, l’hyperactivité ou l’impulsivité.
Les symptômes de nombreux troubles du comportement incluent l’hyperactivité, le manque de concentration, la difficulté de comprendre et de suivre les instructions, à s’exprimer et à accomplir les tâches demandées et ainsi de suite.
Ces difficultés mènent souvent à la frustration et donc à la colère.

Les colères de votre enfant doivent-elles vous inquiéter ?
Quand votre enfant a du mal à gérer sa colère, il faut toujours intervenir, car c’est un signe relatif au manque de ressources nécessaires pour faire face à des situations difficiles sur le plan émotionnel.
Il faut toujours intervenir si :
- Il affiche un comportement dangereux ou violent.
- Il est « ingérable » à la maison comme à l’école.
- Vous vous sentez dépassé(e).
- Son comportement affecte sa vie sociale, par exemple le fait d’être incapable de faire et/ou de garder des amis.
- Son comportement perturbe votre vie familiale ou la qualité de sa vie à l’école.
Les enfants colériques : que dit la science ?
Dans une étude scientifique, les chercheurs ont voulu savoir s’il existe des différences entre les crises de colère des enfants « en bonne santé » et celles des enfants ayant des problèmes cliniques. Ils voulaient distinguer les « crises de colère normales » et les « crises de colère anormales ».
Ils ont demandé aux personnes qui s’occupaient des enfants de remplir une évaluation psychiatrique d’âge préscolaire qu’ils ont ensuite utilisée pour mesurer les comportements de colère.
279 enfants de trois à six ans ont participé à cette étude. Les chercheurs ont constaté qu’il existe différents « types de colère » selon que les enfants sont « en bonne santé », « dépressifs » ou « perturbateurs ».
Les crises de colère chez les enfants sont normales, en particulier dans certaines situations spécifiques. Par exemple, votre enfant est plus susceptible de faire une colère lorsqu’il a faim ou qu’il est fatigué.
Cela dit, bien que la colère soit courante chez les enfants, quand certains comportements se produisent de façon quotidienne ou plusieurs jours par semaine, il peut être nécessaire de consulter un professionnel.
Voici certains comportements inquiétants :
- Comportement violent
- Colères plusieurs fois par jour
- Colères intenses
- Comportement disproportionné
- Rapports fréquents de l’école concernant le comportement incontrôlable de votre enfant
- Difficulté à se remettre des crises de colère
- Comportement agressif envers les objets inanimés
- Automutilation.
Le chercheur Wakschlag et ses collègues ont étudié le comportement de 1 490 enfants d’âge préscolaire. Ils ont constaté qu’il y a lieu de s’inquiéter si votre enfant affiche certains types de comportements plusieurs fois par semaine.
Ils ont établi une liste pour vous aider à déterminer si les crises de colère de votre enfant sont normales en fonction de la fréquence de certains comportements. Selon ces chercheurs, voici les traits de comportement à surveiller pour mieux gérer les colères de votre enfant :
1. Il a un comportement colérique
2. Il tape des pieds ou retient son souffle pendant une crise de colère
3. Il a une crise qui dure plus de cinq minutes
4. Le comportement colérique continue malgré votre intervention pour le calmer.
5. Il casse ou détruit des objets lorsqu’il est en colère.
6. Sa colère l’épuise
7. Il frappe, mord ou donne des coups de pieds pendant une crise de colère
8. Il a un comportement colérique avec vous ou votre partenaire
9. Il a un comportement colérique avec d’autres adultes (par exemple professeurs, baby-sitters, membres de la famille)
10. Il a un comportement colérique face à la frustration
11. Il a un comportement colérique lorsqu’il est fatigué, affamé ou malade
12. Il utilise un comportement colérique pour obtenir quelque chose qu’il veut
13. Il fait une crise de colère au cours des routines quotidiennes (le coucher, les repas, le fait de s’habiller/se doucher)
14. Il est difficile de savoir ce qui a provoqué sa crise de colère
15. Il est facilement frustré
16. Il crie sur autrui
17. Il a un comportement irritable
18. Vous avez du mal à le calmer lorsqu’il est en colère
19. Il se met en colère rapidement
20. Il fait des colères disproportionnées
21. Il a un comportement explosif
22. Sa colère dure longtemps
Si votre enfant affiche plusieurs de ces traits de comportement, il n’y a pas lieu de paniquer. Selon la recherche, les comportements colériques spécifiques sont préoccupants uniquement lorsqu’ils se produisent plusieurs fois par jour/semaine.
Je vous ai préparé une COPIE GRATUITE basée sur l’étude de Wakschlag pour vous aider à mieux analyser le comportement colérique de votre enfant. Vous pouvez le télécharger gratuitement à la fin de cet article.

Les points à surveiller pour déterminer si le comportement colérique de votre enfant est normal
Parfois, le comportement colérique de votre enfant est persistant et vous laisse complètement impuissant. Selon la recherche, voici les comportements à surveiller.
1) Crises de colère disproportionnées
Bien que les crises de colère chez les jeunes enfants soient normales, celles qui sont excessives ne le sont pas. Une réaction disproportionnée peut se traduire par un comportement destructeur ou même agressif envers vous ou ses frères et sœurs, ses camarades de classe, ses amis ou ceux qui sont responsables de lui.
L’étude a révélé que les enfants qui manifestaient de la violence 90 % du temps lors d’une crise de colère avaient souvent un plus grand besoin d’intervention professionnelle.
Si votre enfant semble souvent hors de contrôle à la maison comme à l’école, il existe des formations pour vous aider à déterminer la façon la plus efficace de modifier son comportement.
2) Plus de cinq crises de colère par jour
Certains enfants peuvent avoir plusieurs crises de colère, mais plus de cinq crises par jour en moyenne (à la maison ou à l’école) sont signe d’un comportement à problème.
Le nombre de crises de colère d’un enfant est un critère important pour déterminer les troubles du comportement.
3) Comportement d’automutilation
Adopter intentionnellement un comportement d’automutilation est souvent une source de préoccupation.
Les chercheurs cités précédemment ont découvert que les enfants souffrant de troubles de l’humeur étaient plus susceptibles, lors de crises, de se faire du mal et de blesser autrui (mordre, frapper, donner des coups de pied, retenir sa respiration, se cogner la tête, etc.) que quand il s’agissait d’enfants en « bonne santé ».
Selon eux, il faut s’inquiéter lorsque ce comportement est affiché plus de 50 % du temps au cours des dix à vingt derniers épisodes de comportement colérique.
4) Les colères sans fin
La durée des crises de colère chez les jeunes enfants varie, mais les crises interminables sont souvent une source de préoccupation. Si les crises de colère de votre enfant durent plus de vingt-cinq minutes, elles peuvent signaler un problème plus grave.
De plus, les colères qui durent plus de cinq minutes, mais se reproduisent de quatre à six jours par semaine (ou plus), sont le signe d’un trouble du comportement.
5) Incapacité à se calmer
La recherche suggère que pour les enfants qui sont incapables de se calmer après une colère (indépendamment de l’intensité, de la fréquence ou du contexte de colère), il y a plus de risques qu’ils aient un trouble de l’humeur, surtout s’ils ont des colères fréquentes (au moins quatre par semaine).

8 conseils pour faire face au mieux aux colères de votre enfant
- Aider votre enfant à reconnaître ses émotions. En l’aidant à nommer ces émotions – je vois que tu es fâché – vous l’aidez à réaliser le bien-fondé de ses humeurs.
2) Identifier les déclencheurs de son comportement. Un comportement colérique est toujours déclenché par une situation ou par des événements spécifiques (la frustration, le sentiment de se sentir humilié, etc.).
Le fait d’identifier les environnements à risque facilite la gestion des situations difficiles. Aider votre enfant à comprendre l’origine de sa colère est une étape essentielle si vous souhaitez réduire ces comportements.
3) Ne réagissez pas de la même façon que lui. Plus vous succombez à la colère, plus la situation risque de s’aggraver. Éloignez-vous quelques minutes – sauf s’il y a un risque de danger – et ne réitérez que si vous vous sentez prêt à gérer la situation calmement.
4) Focalisez-vous sur son comportement positif. De nombreuses études ont démontré que l’un des moyens les plus efficaces pour faire face aux comportements inappropriés de votre enfant consiste à mettre l’accent sur ses comportements positifs.
Voici un article qui pourrait vous plaire : pourquoi et comment adopter une discipline positive.
5) Ne cédez pas. Céder aux colères de votre enfant lui apprend que son comportement lui permet d’obtenir ce qu’il désire. Rester ferme et fidèle à vos attentes.
6) Le renforcement positif est une stratégie très efficace qui peut aider votre enfant à mieux exprimer sa colère. Mais mal utilisé, cette stratégie peut accentuer le comportement que vous souhaitez éliminer.
Il est important de bien choisir le tableau de comportements, d’éviter les pièges les plus courants et d’adopter une posture qui augmente vos chances de réussite. Cet outil vous propose des conseils pratiques pour l’appliquer de façon efficace à la maison.
7) Aidez votre enfant à développer un « plan de retour au calme ». Il a besoin que vous le guidiez pour identifier ce qui est acceptable. Par exemple, il faut qu’il sache l’intérêt de substituer la colère par des activités telles que le coloriage, la lecture, la musique, et ainsi de suite.
8) Renforcez la capacité de votre enfant à faire face aux émotions difficiles. Il est possible de l’aider à mieux exprimer sa colère. La mauvaise nouvelle, c’est que cela prend normalement du temps, car il doit apprendre à modifier ses habitudes et sa façon d’agir.

Un des aspects mal compris de la colère des enfants est la croyance que celle-ci surgit « de nulle part ». La vérité, c’est que les émotions augmentent progressivement – un peu comme des vagues – et les comportements colériques qui en résultent signifient que votre enfant a été complètement submergé par la vague.
Mais la solution n’est pas de lui apprendre à « contrôler ses émotions ». Tout le monde ressent la colère et celle-ci est une émotion tout à fait normale.
Ce qu’il faut, c’est lui apprendre à identifier les émotions, à comprendre ses déclencheurs et à faire face de manière autonome aux situations difficiles. Cet outil peut :
- Apprendre à votre enfant à identifier ses émotions et à développer des astuces individuelles pour y faire face.
- Vous aider à comprendre le fonctionnement de la colère et comment réagir à chacune de ses phases.
- Vous permettre d’adopter une stratégie de discipline positive pour vous assurer que les changements positifs se perpétuent.
Si votre enfant est aux prises avec des émotions difficiles, des ressources adaptées à son âge peuvent l’aider à apprendre à exprimer ses émotions de manière plus appropriée.
Toutefois, si cet article renforce vos doutes sur le comportement de votre enfant, n’hésitez pas à contacter un spécialiste pour une évaluation plus approfondie afin d’identifier la meilleure approche pour gérer son comportement.
Lecture supplémentaire
5 choses que les parents émotionnellement intelligents ne font jamais
Une stratégie de discipline positive que vous pouvez mettre en place dès aujourd’hui
Voici votre COPIE GRATUITE basée sur l’étude de Wakschlag pour vous aider à mieux analyser le comportement colérique de votre enfant.
Recherches supplémentaires
Trouble explosif intermittent : adolescents : enquête nationale



Merci pour ces explications très riches d’enseignement. J’ai trouvé tous ces conseils particulièrement intéressants. Par contre, je ne parviens pas à télécharger la fiche des traits de comportement à surveiller. Pourriez-vous me l’envoyer s’il vous plaît? Elle me serait d’une grande utilité. Merci encore pour votre travail.
Bonjour,
Merci de votre message 🙂
Pour recevoir votre fiche gratuite, il suffit de saisir votre émail (vers la fin de l’article). Vous recevrez ensuite en émail pour confirmer votre demande (n’oubliez pas de regarder dans vos dossiers spam ou courrier indésirable si vous ne voyez pas le message de confirmation)
Bonjour tout ce que vous dite me fait penser a mon fils je le sait je dois Co tacter un spécialiste mais le quel ? Quoi comme spécialiste je suis perdue et je ne sais pas ou et vers qui me diriger pourriez vous m’aider ?
Bonjour,
Je comprends votre désarroi – ce n’est pas toujours facile de gérer les colères des enfants. Si vous vous sentez dépassée, il ne faut pas hésiter à contacter un psychologue pour enfants (demandez conseil à votre pédiatre/médecin traitant pour savoir vers quel psychologue se tourner).
En attendant, vous pouvez commencer à développer l’intelligence émotionnelle de votre fils et à utiliser la discipline positive qui s’avère particulièrement efficace face à de telles situations. Je ne vous cache pas que le chemin est souvent long, et que votre fils ne va pas apprendre à mieux gérer ses émotions difficiles du jour au lendemain, mais quelques astuces peuvent mener progressivement au changement positif :
Voici quelques pistes pratiques pour commencer :
https://lesapprentisparents.fr/2019/11/15/une-strategie-de-discipline-positive-que-vous-pouvez-mettre-en-place-des-aujourdhui/
https://lesapprentisparents.fr/2017/07/31/pourquoi-et-comment-parler-des-emotions-aux-enfants/
https://lesapprentisparents.fr/2020/01/03/50-facons-simples-de-renforcer-lintelligence-emotionnelle-de-votre-enfant/
Merci de m envoyer le document je n arrive pas à le télécharger
Bonjour,
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Merci de m’envoyer une copie de la fiche d’évaluation. Et merci pour cet article!
Avec plaisir 🙂
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bonjour, j’aimerais avoir accés à la fiche
cordialement
Bonjour,
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Bonjour, super article qui apporte un nouvel éclairage sur la gestion des crises de nos enfants ! Cela rejoint ce que j’ai appris avec le programme. Vos deux approches sont similaires ! Le programme m’a beaucoup aidé grâce aux outils fournis. Depuis, moins de crises et un retour au calme à la maison très attendu ! Belle journée, et merci encore pour cet article qui donne des clés pour débloquer des situations délicates avec nos chers enfants !
Merci de votre commentaire 🙂
J’ai hâte de voir les fiches pour aider ma petite fille MERCI
article très intéressant. Merci
Avec plaisir 🙂